Cette semaine à Versailles
Théâtre Montansier - Le Dindon
Du vendredi 25 au samedi 26 avril 2025
Dimanche 27 avril 2025
Du mardi 29 au mercredi 30 avril 2025
Vendredi 02 mai 2025
Lieu : Théâtre Montansier
Destination
13 Rue des Réservoirs
78000
Versailles
Coordonnées GPS
Latitude : 48.808077
Longitude : 2.12423
Autoroute A13 Paris-Rouen sortie Versailles Château
Parking de la Place d’Armes (face au château,
gratuit à partir de 19h30, à 5 minutes du Théâtre).
Parking du marché Notre-Dame (payant).
SNCF : Paris Saint-Lazare terminus
Versailles Rive Droite (à 10 minutes à pied)
SNCF : Paris Montparnasse, arrêt Versailles Chantiers
puis bus Phébus ligne B, arrêt Réservoirs
Page 4 sur 9
RER ligne C5, terminus
Versailles Rive Gauche (à 10 minutes à pied)
RER ligne C7, direction Saint-Quentin-en-Yvelines
arrêt Versailles Chantiers puis bus Phébus ligne B, arrêt Réservoirs
- Phébus ligne B, arrêt Réservoirs
- Veolia ligne 1, arrêt Réservoirs
- RATP ligne 171, arrêt Château de Versailles
Parking de la Place d’Armes (face au château,
gratuit à partir de 19h30, à 5 minutes du Théâtre).
Parking du marché Notre-Dame (payant).
SNCF : Paris Saint-Lazare terminus
Versailles Rive Droite (à 10 minutes à pied)
SNCF : Paris Montparnasse, arrêt Versailles Chantiers
puis bus Phébus ligne B, arrêt Réservoirs
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RER ligne C5, terminus
Versailles Rive Gauche (à 10 minutes à pied)
RER ligne C7, direction Saint-Quentin-en-Yvelines
arrêt Versailles Chantiers puis bus Phébus ligne B, arrêt Réservoirs
- Phébus ligne B, arrêt Réservoirs
- Veolia ligne 1, arrêt Réservoirs
- RATP ligne 171, arrêt Château de Versailles
Organisateur
Théâtre Montansier
Lieu
Théâtre Montansier
13 Rue des Réservoirs
78000
Versailles
Présentation
Le Dindon - Théâtre de Feydeau
Création/coproduction
Pontagnac, qui suit Lucienne dans la rue depuis trois jours parce qu’il en est tombé amoureux fou, s’introduit de force chez elle. Il y trouve, Vatelin, son mari qui n’est autre qu’un de ses vieux amis. Ce dernier quant à lui, est assailli par une anglaise avec qui il a eu une aventure à Londres et qui veut remettre le couvert. Son mari, au courant de l’affaire, veut les surprendre pour pouvoir divorcer. Il a quant à lui rendez-vous dans un hôtel avec une prostituée qui lui pose un lapin pour jouer les doublures dans les fantasmes de Rédillon, le meilleur ami de Vatelin, qui soupire pour Lucienne. Vous suivez ?
Dans l’œuvre de Feydeau, Le Dindon est une pièce qui va extrêmement loin. Elle déborde d’actions terriblement drôles entremêlées avec art et précision. Mais si elle nous fait hurler de rire, c’est parce qu’elle met à nu la sauvagerie de chacun et chacune. Tout commence avec Pontagnac qui s’introduit chez Lucienne, cette effraction originelle renverse l’ordre et l’harmonie et entraîne des courants d’air qui ouvrent violemment des portes sur des personnages inattendus. On a beau claquer, reclaquer les portes, rien n’y fait, il faut sacrifier la bête. Pontagnac dira à la fin de la pièce : « c’était écrit, je suis le dindon ».
Pontagnac, qui suit Lucienne dans la rue depuis trois jours parce qu’il en est tombé amoureux fou, s’introduit de force chez elle. Il y trouve, Vatelin, son mari qui n’est autre qu’un de ses vieux amis. Ce dernier quant à lui, est assailli par une anglaise avec qui il a eu une aventure à Londres et qui veut remettre le couvert. Son mari, au courant de l’affaire, veut les surprendre pour pouvoir divorcer. Il a quant à lui rendez-vous dans un hôtel avec une prostituée qui lui pose un lapin pour jouer les doublures dans les fantasmes de Rédillon, le meilleur ami de Vatelin, qui soupire pour Lucienne. Vous suivez ?
Dans l’œuvre de Feydeau, Le Dindon est une pièce qui va extrêmement loin. Elle déborde d’actions terriblement drôles entremêlées avec art et précision. Mais si elle nous fait hurler de rire, c’est parce qu’elle met à nu la sauvagerie de chacun et chacune. Tout commence avec Pontagnac qui s’introduit chez Lucienne, cette effraction originelle renverse l’ordre et l’harmonie et entraîne des courants d’air qui ouvrent violemment des portes sur des personnages inattendus. On a beau claquer, reclaquer les portes, rien n’y fait, il faut sacrifier la bête. Pontagnac dira à la fin de la pièce : « c’était écrit, je suis le dindon ».
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